Héra, Reine des Dieux et Épouse de Zeus

Nom du Personnage :
Comme quasi tout Dieux, Héra ne possède aucun patronyme ou du moins, ne le connait pas.

Prénom du personnage :
La Reine des Dieux est connu sous le prénom divin d'Héra.

Âge :
D'un âge inconnu, notre infinie jouvencelle jouit d'une apparence dans la vingtaine lui prodiguant une beauté inestimable.

Armure souhaitée :
Kamui Divine d'Héra

Histoire :
Héra, une divinité connue et un nom raisonnant encore dans les échos des temples. Fille de Rhéa et Cronos, elle aurait été dès la naissance avalée par son paternel. Néanmoins, avec de la chance inouï probablement, un de ces confrères, plus précisément Zeus, vint à son secours en la libérant elle ainsi que tout ses frères. Cette libération ne prodigua pas nécessairement un amour direct pour cet individu se trouvant tout de même à être un de ces confrères de même sang, toutefois cela viendra. Suite à la Titanomachie, le combat de tous les titans, un amour incertain ou plutôt étrange se créa entre Héra et Zeus. Ces deux dieux-en-devenir devinrent alors amoureux puis bien rapidement mari et femme. Notre déesse, de nature jalouse, surveillait toutefois les allées et venues de son époux. Ce dernier était frivole et allant voir ici et là, la colère de sa bien-aimée était terrible à chaque fois. Héra fut mère de quatre enfants, trois de son époux et un qu’elle conçut elle-même dans l’unique but de défier l’élu de son cœur et lui montrer qu’elle n’avait pas besoin de son pseudo-aide pour enfanter. De ce couple naquit ainsi Arès, Hébé et Ilithye. Ces trois enfants naquirent de manière purement naturelle dit-on toutefois, un quatrième enfant étrangement née provint dans le cœur de cette histoire de discorde divine.

Héphaïstos vint au monde suite à une quelconque querelle opposant Zeus à sa chère et tendre épouse. Cette dernière, éprit d’une colère farouchement refourguer au fond d’elle-même, quitta les lieux d’un pas pressant afin d’éviter une quelconque tyrannie qui n’en finirait plus. Elle ne comptait pas rester bien loin longtemps, oh non. Elle allait seulement défier Zeus d’une manière certes pas humaine. Logique en même temps, possédant les pouvoirs divins d’une certaine façon, Héra était destinée à pouvoir commettre des actes étranges et quelque peu méconnus de la race humaine. Elle enfanta ainsi, sans l’aide de son mari, un enfant qui fut nommé Héphaïstos. Ce prénom néanmoins ne sera pas connu immédiatement comme étant l’enfant de la déesse Héra et de son époux, le fameux Zeus. Ce jeune homme resta donc inconnu pendant un temps jusqu'à ce qu’Homère et Cicéron se mêlent de cette affaire oubliée depuis un temps, et font officiellement d’Héphaïstos le fils légitime de ces deux dieux souverains. Héra n’éprouva aucun remords et pourtant, lors de la naissance d’Héphaïstos, la honte s’était épris de son âme divine et l’avait poussé à mentir en disant que ce jeune enfant était né sans père. Ce n’était pas totalement un mensonge mais plutôt une vérité cruellement voilée d’ébène et d’ivoire.

Cette nouvelle ne l’ébranla donc pas. Elle accepta ceci comme un signe de la destinée, comme quoi ce fils devait être proclamé comme celui de son mari et le sien. Maintenant toutefois peu de personnes connaissent la véritable histoire entourant les fiançailles de ces deux enfants liés de la même famille. Ceci n’est que la version connue. Toutefois celle-ci est celle qui serait vraisemblablement la vérité pure. Leur union fut réalisée par Océan et Thétys, suite à l’envoi de Cronos au Tartare. C’est dans le secret le mieux gardé qu’ils unirent leur vie à jamais sur l’île de Samos. Là aurait été l’histoire de cette union qui n’était peut-être pas censé avoir été réalisé, à l’insu de leurs propres parents. Toutefois, s’aimant, ils le firent. Néanmoins malgré cette union, Zeus semblait toujours attiré par d’autres femmes et son épouse n’aimait pas spécialement ce comportement volatile. Elle prenait un certain plaisir à pourchasser les conquêtes de son bien-aimé en les torturant de différentes manières. Elle s’amusait aussi évidemment à persécuter leurs progénitures afin de bien ancrer sa vengeance dans leurs souvenirs torturés. Elle ne se gêna pas pour faire usage de plusieurs stratagèmes pour user de sa vengeance. Une de ces victimes, Héraclès, se fit empoisonner par deux serpents, sans scrupule. La nymphe Io, qui fut transformé en vache sous la protection de Zeus, devint malheureusement folle à cause de la piqûre d’un taon qu’Héra aurait elle-même envoyé pour exécuter sa vengeance et faire clairement comprendre à Zeus de ne pas aller chercher d’autres femmes qu’elle.

Comme on peut se douter, ça ne fonctionna pas nécessairement, alors son châtiment s’exécutait encore et encore, sans s’en lasser, espérant secrètement que Zeus comprenne que son caractère volage blessait sa femme jusqu’à faire bouillir une jalousie en elle, incontrôlable, elle se vengeait sur ses conquêtes plutôt que lui-même. Car oui elle l’aimait, mais son caractère blessant la portait à faire des stupidités comme persécuter des enfants sans pitié. Déesse du mariage légitime, pourtant, elle, ne possède aucun amant. Oh certes, de par sa beauté, elle est désirée par Ixion entre autre, et plusieurs autres divinités rêvant de pouvoir prendre ce corps si majestueux entre leurs bras, néanmoins elle est déjà mariée et, disons, heureuse. Car oui quelques fois, elle peut vivre des moments privilégiés avec Zeus, néanmoins il est souvent porté à aller voir ailleurs, trop souvent. Un jour toutefois, Héra se retrouva exaspéré par le comportement frivole de son époux. Les incartades de ce dernier, blessantes et sans scrupules envers elle, avaient assez durées ! Elle demanda donc l’aide de ses propres enfants, afin d’exécuter une vengeance peu prometteuse sur cet individu divin, trônant sur Olympe. Néanmoins cette vengeance ne fonctionnera pas comme prévu…

Le plan fut simple. Ils projetaient de fortement attacher Zeus pendant son sommeil à l’aide de lanières de cuirs pour l’empêcher ainsi de perpétuer ses séductions sur les mortelles de la Terre. Toutefois, ce qui fit obstacle à ces idéologies peu amusantes fut la néréide Thétis. Elle envoya promptement L’Hécatonchire Briarée pour les dissuader de faire une telle stupidité. Néanmoins cette idée de vengeance parvint aux oreilles de Zeus qui ne trouva pas nécessairement l’idée amusante. Malgré que ce soit son épouse, le roi des Dieux punit sans pitié Héra en la suspendant dans le ciel à l’aide d’une chaine dorée, et une enclume à chaque cheville. Les conditions de sa libération furent simples ; une soumission la plus totale envers celui qu’elle était censée aimer et chérir. Cette promesse n’était pas aisée à faire mais elle devait le faire au risque de rester suspendu dans les cieux éternellement. C’est donc avec une rage au cœur qu’elle accepta de se soumettre à ce dieu suprême. Il la relâcha donc et Héra décida de se tenir tranquille en connaissant l’indulgence de Zeus. Néanmoins en elle bouillonnait une rage. Elle savait qu’il continuait de charmer ces mortelles. Mais elle continuait également de les châtier pour leur prouver sa présence, leur montrer qu’elles n’avaient pas intérêt à y repenser deux fois ! Pourtant elle gardait une sorte de plaie au cœur, béante et encore saignante du peu d’attention que portait son mari sur elle et de celle qu’il portait sur les mortelles de ce Monde. Olympe possédait donc une reine jalouse, entêtée et malaimée ? Non, peut-être pas.

C’était néanmoins les preuves présentes. Les dernières épopées parlant d’Héra fut une dispute entre elle et son époux, à nouveau. Tirésias comme témoin, ils se querellaient spécialement sur un sujet quasi loufoque, à savoir quel sexe prodiguait le plus de plaisir lors d’une relation sexuelle. Évidemment, chacun tenait leurs dires comme preuves mais ils ne pouvaient réellement montrer une preuve concrète. Finalement, elle accepte que le devin Tirésias vienne mettre fin à ces stupidités. Lui qui fut femme puis homme, il pourrait donc juger très aisément cette querelle qui n’en terminait plus sur un sujet un peu trop frivole probablement mais qui causerait quelque chose de terrible au pauvre devin. Ce dernier donna raison à Zeus. Ces mots raisonnèrent comme un écho dans l’esprit d’Héra qui le foudroya d’une cécité violente, rendant le pauvre homme aveugle. La jalousie d’Héra ferait toujours rage bien évidemment. Elle surveille toujours autant Zeus et ne le quitte pas des yeux le plus souvent possible, bien que ce ne soit pas tâche aisée. Secrètement, elle espère n’être qu’à lui, et pourtant il ne semble pas s’en rendre compte. C’est donc tristement qu’elle continue de cacher cette vérité pour elle-même et de rester impassible à toutes situations. Elle reste droite et brave, soumise et pseudo-compréhensive à la moindre dispute, mais fidèle à elle-même, elle ne peut évidemment s’empêcher de rajouter son commentaire sur une dispute si elle sait avoir raison. Néanmoins elle tente de se calmer un peu, même si sa colère sur les conquêtes de Zeus restent redoutables et terribles…

Test RP :
Prochain Poste

Hors RP

Comment avez-vous connu le forum :
Il s'agit d'un des fondateurs, Zeus, qui m'a gentiment invité sur ce forum.

Votre présentation :
Je m'appelle Trisha. J'ai quinze ans et je suis encore étudiante.
Je vis au Canada, plus précisément au niveau de Québec.
J'ai une expérience RP de bientôt sept ans et je suis sur trois forums où je suis Administratice partout.
Sans compter celui-ci qui est mon quatrième.
Je ne connais pas spécialement Saint Seiya, néanmoins je connais bien les mythologies et je me suis donc laisser tenter.
Voici donc ! Je tâcherais de terminer ma présentation dans le cour de la journée.

Bienvenue à ma Divine Epouse... Je suis impatient de lire ta fiche et espère que tu te plairas sur ce forum.

Test RP :

Des pas léger et feutré se faisaient entendre alors qu’un chant doux comme le gazouillis d’un oiseau céleste se faisait entendre. Audible à seulement quelques mètres de là et uniquement si l’on prêtait oreille, la provenance de ce chant calme et envoûtant n’était nul autre que les lèvres rosées de la reine des Dieux. C’est d’un pas doux et délicat qu’elle marchait au travers cette forêt où le vent traversait sa chevelure au gré de ses pas. Comme si il suivait le son de la mélodie émise par ses cordes vocales, à chaque note il parcourait la forêt en faisant frissonner les arbres, caressant leurs branches et hérissant leurs feuilles. Feuilles qui d’ailleurs semblaient se ternirent, une nouvelle saison ? Héra porta un regard inquisiteur sur un des arbres en continuant de fredonner une mélodie qui pourrait passer pour une berceuse par moment ou pour une musique plutôt joviale à d’autres. Le temps était à la festivité, peut-être pas. Mais malgré son caractère peu indulgent et assez brusque, notre jouvencelle divine savait se contrôler et faire preuve d’un calme divin, accompagné d’un sourire enchanteur ornant ce visage de fée. La nuit tombait doucement à l’horizon et son regard se porta justement vers ce même horizon, non pas inquiète mais plutôt curieuse d’observer ce coucher de soleil que les humains trouvaient si grandioses. Pourtant il n’y avait rien de spécial. Elle se contenta d’arborer un certain sourire quasi cachottier avant de poursuivre sa route en regardant le sol, observant où ses pas la mèneraient. Des animaux parcouraient ces terres, et à chaque fois que ses yeux les croisaient, Héra ne pouvait s’empêcher de songer à la déesse de la chasse. Artémis avait de quoi ne pas être dérangé ces temps-ci, la chasse n’étant pas à l’honneur. Néanmoins Héra ne perdit pas le temps de songer à ces genres de chose que son regard se tourna à nouveau vers l’horizon. Ses pas cessèrent, puis la quiétude s’installa. Ses mots vinrent tel une eau délicate tombant à filet d’une urne sacrée et scintillante de beauté, d’un calme inouï, un chuchotis divin.

« Le flux du temps passe tel un sablier oublié dans les montagnes sacrées... Quel dommage d’ainsi gaspiller l’éternité... »

Des mots qui n’avaient pas nécessairement de sens pour certaines personnes voire peut-être même pour notre divine souveraine. Néanmoins elle n’avait fait qu’exprimer sa pensée sous forme de paroles énigmatiques portant à réfléchir sur le sujet du temps. La vue de ces feuilles changeant systématiquement de couleur l’avait visiblement fait réfléchir sur le temps qui passait à une vitesse vertigineuse sans vraiment que l’Humanité prenne le temps de s’en rendre compte. Héra soupira discrètement avant de progressivement continuer son chemin en fredonnant cette étrange mélodie qui semblait apaiser les lieux. En marchant de ce pas doux, Héra songeait principalement à ce qui l’entourait actuellement. Elle ne voulait pas penser à ce qui l’attendait non. Un son attira son attention, la souveraine tourna la tête vers la droite pour remarquer des oiseaux dans leur envol. Le son des cris d’oiseaux se fit percevoir très facilement de son oreille et Héra se contenta de laisser lentement son sourire s’effacer. Sur ces terres humaines régnaient les femmes mortelles, celles qu’elle méprisait. Son propre mari les charmait à son insu et rendait sa femme encore plus jalouse mais également encore plus peiné. Secrètement Héra cachait sa peine. Elle était fière, elle ne voulait pas démontrer à Zeus qu’il avait raison d’agir ainsi car cela la blessait. Tant pis, elle continuerait cette mascarade aussi longtemps qu’il le faudrait. Mais encore pendant combien de temps ? Seul le temps le dira. Les dieux étant immortels, cela pouvait s’avérer très long. Sereine, elle poursuivit son chemin sans relâche et sans vraiment avoir de but ou de destination précise. Elle devrait sous peu retourner à Olympe, mais le calme rarissime de cette forêt l’enchantait et la tentait à rester ici pendant un certains temps. Ainsi, le sourire aux lèvres, elle poursuivait sa marche. Un chant provint à ses oreilles, et elle tendit une main devant elle pour laisser un oisillon refermer ses faibles serres autour de son index. Fièrement redressé, il observa cette beauté qui le soutenait maintenant.

« Que me veux-tu, jeune ami de la nature et des cieux ? »

C’est d’un air quelque peu taquin qu’elle venait de prononcer ces mots, d’un ton amusé mais enchanté également. L’oiseau lui répondit d’un chant mélodieux qui accentua son sourire avant de le laisser prendre ses ailes. Le volatile au plumage brunâtre sembla se diriger vers son nid, son chez-soi. Héra se souvint que le retour vers Olympe devrait peut-être se faire bientôt, le temps passait et la nuitée tombait déjà. Les ténèbres nocturnes faisaient doucement son royaume sur ce monde et elle devrait retourner au bercail. Elle baissa un instant la tête en regardant de ce fait le sol avant de fermer les yeux pour joindre ses mains ensembles en réfléchissant d’une façon quasi religieuse. Le silence s’installa. Le vent néanmoins ne s’arrêtait pas et semblait même concentré autour d’elle pour ainsi dire. Héra ne faisait que réfléchir pourtant. Elle tentait de comprendre quelque chose. Pourquoi est-ce que Zeus allait toujours voir ailleurs ? N’était-elle pas apte de le combler ? Peut-être n’était-elle pas assez puissante pour le faire après tout. Non, non cette pensée quitta rapidement son esprit. Elle était apte de le faire, elle devait simplement le lui prouver. Ainsi il cesserait d’aller voir ailleurs, son caractère volage pourrait enfin passer à la trappe et l’harmonie reviendrait au sein de ce couple où la discorde régnait pour des choux. Elle n’était pas n’importe qui après tout, elle était son épouse, la reine des Dieux. Officiellement, elle était sienne. Mais également soumise à lui suite à une promesse qu’elle n’avait put citer dans le vent. Elle songea au jour où elle avait été cruellement suspendue dans les cieux par des chaines dorées et elle sentit doucement son cœur se serrer. En secouant doucement la tête, elle effaça ce sentiment et reprit la route vers Olympe. Pas de temps à perdre ! Consciente de ce qu’elle avait en tête comme plan, Héra décida d’arriver avec le sourire aux lèvres plutôt que d’être, comme d’habitude, rapide pour éviter Zeus. Ce n’était pas la meilleure manière de faire de toute manière. En route, elle revit ce volatile qui était venu la saluer visiblement, il chantonna, l’air de l’accompagner jusqu’à la sortie de cette forêt. Héra eu un sourire avant de chuchoter quelques mots.

« Vol, toi qui peut jouir d’une liberté éternelle. Vol jusqu’à ton dernier jour, explore les cieux et frôle les nuages... »

Son courage bien scellé entre ses délicates mains, Héra se prépara à faire face aux portes d’Olympe pour une énième fois. Elle était certes prête à le faire car ce n’était pas la première fois, évidemment ! Mais elle gardait son courage pour se contrôler en se promettant de cesser d’émettre une réplique à la moindre parjure que ferait son époux, même si quelque fois la tentation était grandiose et la portait à dire un mot de trop. Elle devait rester calme, réfléchir avant d’agir surtout. Mais sa colère envers les conquêtes de son amoureux ne pouvait être que cruelle ! Après tout, elles se laissaient charmer par un dieu marié. Peut-être ne le savaient-elles pas, mais c’est de la foutaise comme hypothèse. C’est donc avec un léger sourire qu’elle poursuivit son chemin avec une certaine conviction. Elle se doutait que si elle apprenait à mieux vivre et à rester calme, que peu à peu, l’harmonie reviendrait, si encore Zeus acceptait d’ouvrir les yeux face à cet effort. Qui sait, peut-être qu’un jour ce sera possible. Il fallait simplement essayer...
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J'ai terminé ma présentation ! Navré pour le double poste, mais ça n'entrait malheureusement pas dans le premier...
Et merci cher époux pour votre salutation, vous m'en voyez ravis, et je suis convaincue que je m'amuserais ici !

Eh bien... Que dire devant la meilleure fiche de ce forum... Je suis tout bonnement comblé, tu feras une parfaite Héra.

Je te donne mon OUI. Il ne manque plus que la validation d'Hadès... Il ne posera pas de problèmes. Encore Bienvenue ma douce Héra, vivement mon retour d'Asgard.^^

bienvenu a vous chère déesse! vous feriez mieux de "reprendre" votre mari des terres nordiques, moi je n'aurais pas confiance, qui sait ce qu'il pourrait faire...

(héhé )

Ca deviens vraiment ennuyeux d'être admin... Plus moyen de trouver quelque chose de négatif à redire... Un grand OUI évidemment... Je n'en attendais pas moins de toi.... Zeus m'avait montré quelques-uns de tes postes...

Bravo et bienvenue sur SSCR Au plaisir de se rencontrer ma chère belle-soeur...

Dois-je dire bienvenue ?

Hiraga et Kaien frappent fort et Hilda dit "Bienvenue".

Ne t'approche pas d'Asgaerd où, tu en payeras le prix !

Bon je lock...^^