Le Retour d'Hadès

Un vent glacial souffla brusquement entre les arbres fleuris d'Elysion. Il était venu du plus profond des entrailles des Enfers et s'était mit aussitôt à déembuler entre les montagnes, accélérant lorsqu'il profitait d'une pente aussi douce soit elle et ralentissant lorsqu'il devait se cindre pour traverser la forêt verdoyante et compacte d'Elysion. Chaque brins d'herbes trésaillaient sous l'effet de la poussée soudaine et légère du souffle étrangé. Chaque rocher, chaque colinne, chaque étendue d'eau réagissait d'une façon differente certe, mais réagissait... Par exemple par de légères ondulations sur la surface lisse et pure de l'eau, brisant ainsi une étendue de goutelettes qui avaient mis tant de temps à se poser. En effet, il était impossible que la moindre particule du Royaume des Morts n'aie pas ressentit cet infime mais inévitable changement.

La brise stoppa finalement sa course folle en heurtant le bois de chêne que tout homme posant un pied en Enfer se doit de fouler. Ce bois n'était autre que la parroi résistante d'une barque, une barque toute simple, dans lequel se dressait un des plus vieux serviteur d'Hadès. Il semblait fier, debout sur sa barque, atendant que quiconque vienne lui demander de passer sa rivière, le Styx. Il attendait, mais c'était la morte saison, pas ou peu de morts avaient franchis ce courant depuis la chute du Seigneur de ces terres. Il était tombé, sous les assauts de quelques chevaliers de bronzes aidés de leurs Déesse. Et depuis, plus rien, le Royaume des Morts avait cessé d'exister, la douce mélodie des nymphes s'était tue brusquement, et puis doucement, le Royaume d'Hadès s'était mis à fonctionner au ralentit. L'entrain de chaque âme vivante en ces lieux s'était évaporé et les Dieux, les nymphes et les spectres avaient aussitôt cessé de parler, de bouger, de vivre pour leur Dieu.

Après avoir vaincu l'obstacle de la barque, la brise reprit sa ballade et finit par s'écrasée contre le marbre d'un escalier. Le vent pris alors une vitesse impresionnante, doublant d'ardeur entre chaque marche avant de faire exploser les portes imposantes du Temple d'Hadès et de s'engouffrer brusquement dans celui-ci. A l'interieur, une jeune femme de retourna, surprise de cette entrée fracassante dans l'antre de son maître. Elle regardait à présent dans le vide, à l'endroit où se trouvaient les portes auparavant. Elle avait du mal à appercevoir quelque chose car l'ouverture des portes avaient fait entrée les rayons du soleil dans le temple du Dieu des Enfers et l'aveuglaient à présent. La femme paraissait troublée, on eut dit qu'elle n'avait plus été exposée à la chaleur depuis des années. L'interieur du batiment en était la preuve, une épaisse couche de poussière avait recouvert l'entierté du trône d'Hadès. Mais cela avait disparu avec l'intrusion du souffle froid et noir dans ce batiment.

"Qui va là?" hurla la jeune et belle femme.

Une voix caverneuse et sombre se fit entendre:

"Tu ne reconnais donc pas la présence de ton maître en ces lieux, douce Pandore?, il est vrai que tu ne m'a plus entendu depuis plusieurs années... Mais je suis de retour... Va Pandore, va annoncer à mon peuple que leur Dieu est de retour, qu'il à de nouveau projets, de nouvelles idées, mais qu'il ne peut les faire sans l'aide de ses spectres. Dit-leurs que le temps du Dieu des Enfers trop fou et trop fourbe est résolu, dit-leurs que tout à changé. Ordonne-leurs de réactiver la machine du Royaume des Morts, que chaque Spectre, chaque Nymphe et chaque serviteur d'Hadès se remette au travail pour créer un Monde souterrain encore plus puissant et plus resplendissant qu'auparavant!"

Tandis qu'Hadès parlait, toutes les particules récoltées lors de sa traversée des Enfers se rassemblait pour se matérialiser devant la jeune femme ébahie. Hadès apparut sous une forme plus mature et plus robuste que la dernière fois.

"Je ne vous avait pas reconnu Hadès-sama... Je..je suis désolée..."

La jolie femme baissait les yeux, honteuse de ne pas avoir reconnu la personne qu'elle atendait depuis plusieurs années sans jamais relachée sa veillée. Pandore était épuisée.

"Ne t'excuse pas, je suis là et je sais que tu m'attendais... Part... Part accomplir la mission que je t'ai confié... Nous aurons tout le temps nécessaire plus tard pour nous parler. Va..."

Pandore se leva d'un bon et courut vers les prairies douces et fleuries d'Elysion...

Hadès observa la jeune femme courrir pour hurler la nouvelle, il était revenu... Il n'y croayait pas lui même, il avait beaucoup souffert de son echec face à Athéna, mais c'est son honneur et son égo qui avait pris le plus de coups. Mais il avait compris certaines choses, il ne recommetrait pas deux fois les mêmes erreurs... Et qui sait, son point de vue sur certains Dieux, sur certaines Déesses et sur le monde avait peut-être changer. Hades en rentrant à Elysion, avait compris que cette renaissance physique était aussi le dépard pour une nouvelle vie, une nouvelle manière de penser, de voir les choses. Il gravit les quelques marches qui le séparaient de son trône, il l'observa puis s'assis doucement, en inspirant une bouffée d'air frais et pur du jardin d'Elysion. Il ordonna à trois nymphes de venir de suite dans la salle du trône.

Peu après, une ribembelle de serviteurs entrèrent dans le bâtiment, géné de ne pouvoir frapper à la porte qui venait d'être pulvérisée.

"Ce...ce sont les instruments mon maître" Un serviteur avait parlé, tout en se courbant si bas qu'Hadès se demandait comment il tenait encore droit.

"Tres bien, merci... Faites venir les nymphes maintenant!"

Hadès attendit quelques minutes puis trois nymphes plus belles les une que les autres vinrent saluer leur Dieu. Puis, d'une grâce incroyable, se dirigèrent vers le coin où les instruments avaient été installés. Hadès leurs fit signe de commencer et les nymphes firent jouer leurs mains d'une facon éxtraordinaire sur leurs instruments. Leurs doigts sembalient glissées sur les cordes, ils éfleuraient à peine les cordes rudes d'une harpe dégageant une mélodie telement douce et légère que le Seigneur des Ténèbres ferma les yeux et se sentit chez lui pour la première fois depuis bien des années. Les nymphes jouèrent toute la journée, sans s'arreter. Elles étaient telement heureuse de pouvoir à nouveau jouer pour leur maître qu'elle en oubliait la fatigue, deux d'entres-elles avaient une goutte de sang leur perlant le long de leur bras nu. Elles jouaient depuis telement longtemps que les doigts des nymphes étaient usées. Quand Hadès ouvrit les yeux, il apperçut ces blessures et leur ordonna d'arreter.

"Merci beaucoup... Vous m'avait fait renaître par votre talent... Grâce à vous je suis vraiment de retour... Je vous laisse aller maintenant, vous avez trop souffert de mon besoin musical... Partez et répandez la nouvelle de mon retour à votre tour."

Hadès regarda partir les nymphes, répara la porte, jeta un dernier coup d'oeil autour de lui avant de fermé définitivement les yeux pour les rouvrires dans un monde nouveau, dans un monde de changement et de gloire au Royaume des Mort et à son maître revenu... Hadès.

- Mouhahahaha ! Encore un magnifique carré d’as ! Ces cartes m’ont reconnue comme leur maître incontesté !

Oui, je reconnais, je suis un veinard … un veinard parfait ! C’est pour cela que personne n’est digne de jouer avec moi ! De plus, une seule carte mérite d’être dans mon jeu … ce qui fait que je possède un jeu de 52 As ! Effectivement, la perfection a un prix !

Je reprenais les cartes pour les « Mélanger » quand soudain, une gothique hystérique déboula de la Guidecca en hurlant avec une voix de crécelle comme si elle avais vue un dieu ! (Le seul dieu qu’elle aurait pu voir c’est moi or, elle ne ma même pas regardé !). Il est vrai qu’il y a quelque minute j’avais ressenti un puissant cosmos, puis ne voyant pas son possesseur, j’eu cru a un tour de ma magnifique imagination !

Je prenais donc mes clics et mes clacs, et je décidais donc d’aller voir ce qu’il se passait à l’intérieur ! (Pas trop vite non plus, il ne faut pas que je transpire, ce n’est pas marvelous pour l’hygiène de mon corps parfait !)

J’entrais donc dans la vaste salle … voyant déjà un bon nombre de petits et insignifiants spectres terrestres incliné face à … à … ?
Je marquais un temps d’arrêts, partager entre la peur et l’admiration, j’étais comme figeait par ce charisme qui sans aucun doute ,devait être aussi parfait que le miens … Et … la seul personne qui possède un tel charisme ne peu être que notre maître ! Hades-sama !
Mon genou gauche ne supporter plus mon poids, m’obligeant a m’incliner a mon tour.

Hades, dans son corps originels, écouté les nymphe jouer pour lui, cette musique semblait compté à Hades-sama tous mes exploits, et autre actes homérique dont je suis l’auteur ! Une musique aussi magnifique ne peu parler que d’un être magnifique !

Cela dura assez longtemps comme ça, puis, sûrement en entendant les notes des nymphes se saccader sous le coup de la douleur au niveau des doigts, en bon maître responsable de ses loyaux instruments que nous somme tous, les congédias dans l’élision … (Je suis sur que j’aurais ma place là-bas)

Une fois les jeunes femmes hors de vue (j’avoue que je n’était pas insensible au charme de celle qui jouait de la Harpe), prenant mon courage a deux mains, je me levais en commençant a applaudir !

- Bravo ! Bravo ! Bravo ! Absolument marvelous ! A mon image ! Euh … à votre Image mon maître ! Excusez ma magnifique langue, il n’est pas en ses habitudes de fourcher !

Je sentais son regard sur mes épaules … je me sentais de plus en plus frêle … puis comme pour sauvé ma face, je criais aux autres spectres présent ici :

- GLOIRE A NOT’ SEIGNEUR HADES ! GLOIRE A NOT’ SEIGNEUR HADES !

cela faisait plus de 13 ans que je suis dans ce froid et ces souffrances du Cositus
si seulemen je pouvais en sortir.
il y a quelques minutes, moi, Chion du Bélier d'Or, ancien Grand Pope,élève d'Hakurei de l'Autel d'argent, j'ai ressentis un Cosmos que je n'ai plus ressentis depuis plus de 247 ans: le Cosmos d'Hades, Empereur des ténèbres.
ce serait -il réincarné?
dans ce cas il ne me reste qu'a rejoindre les spectres une seconde fois.
Athena ne nous a pas remercier de c e que nous avons fait!!!
cette foi ce ne sera pas de la comédie
je compte revetir mon surplis du bélier des enfers!!!
"Hades, montre toi j'aimerais faire un marcher"

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